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bonjour, je voudrait participer ou faire partie d'un groupe de chasseur de fantômes du coter de liège . commen
Par sebastien, le 08.02.2017
bonjour , j'ai fait des "expériences " de ce genre ...il y a 20 ans ...et depuis que je m'en suis sortie , je
Par kate , le 19.01.2017
salut moi jai un dont je peux voit et sentiré les esprit mes jai peur de mettre en danger mes amies puis mes a
Par Chacha, le 09.01.2017
comment je peux fer partie d un groupe d enquête de chaseure de fantome belge http://gaspard rudy@hotmail.c o
Par Rudy, le 30.12.2016
alors je m'appelle angélina j'ai 13ans et je suis fan de tout se qui est paranormal,jai commander sur un site
Par ortega, le 27.12.2016
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Date de création : 09.10.2010
Dernière mise à jour :
14.01.2016
39 articles
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Nous sommes en Italie en 1982, ou l'intrigante histoire de Carole Compton défraye la chronique et fait places aux rumeurs les plus folles.
Cette jeune écossaise âgée de vingt ans est au centre d'une incroyable polémique qui va la mener en prison.
Aussi incroyable que cela puisse paraitre elle est soupçonnée de sorcellerie.
On prétend qu'elle a le pouvoir de déclencher des feux à distance, un phénomène rare appelé pyrokinesie.
En mai 1982, Carole Compton qui est tombée follement amoureuse d'un jeune homme italien décide de venir vivre en Italie.
Pendant que son petit ami fait son service militaire elle se fait embaucher comme jeune fille au pair dans la famille Riccie à Rome.
Très vite des événements étranges se déroulent dans la maison des Riccie.
Des tableaux tombent après le passage de Carole, des meubles se mettent à bouger sans raison.
www.paranormal-investigations.be
Possession:
Nom féminin, état d'une personne possédée par une force démoniaque, de l'occulte. Psychiatrie : Délire de possession, dans lequel le malade se croit en proie à des forces surnaturelles. L'origine : Parfois pour des raisons mystérieuse, des personnes jusqu'alors normales se mettent à changer du tout au tout.

Elle deviennent violentes, à peine humaines, vomissent des choses infectes profèrent des horreurs, crient comme des animaux, se contorsionnent de façon incroyable. Dans certain milieu, ce comportement est interprété comme une manifestation de possession par le démon, phénomène dont le seul remède est l'exorcisme. La bible dit pour tout bonheur il y a un malheur, pour toute joie il y a une peine, pour toute bénédiction il y a une malédiction.
L'emprise du démon
Plusieurs cas authentique de possession ont été rapportés par l'Église au cour des cents dernières années. Parmi les cas de possession les mieux documentés, le plus vieux cas remonte à 1865. Avis au croyant Catholique selon l'Église elle-même, la possession par le démon est réel. À ce sujet le rituel Romain représente en détail le mode d'emploi afin de déterminer les critères d'une possession authentique et même la notice pour exorciser un être possédé.
Un des professionnel dans le domaine de l'exorcisme est le Père Adolf Rodewyk. L'Allemand Jésuite le Père Adolf Rodewyk a écrit à l'âge de 71 ans, un manuel sur la possession et l'exorcisme. Publié pour la première fois en 1963 et traduit en anglais sous le titre Possessed by Satan, l'auteur donne de sérieuses recommandations face aux exorcismes.
La science face aux démons
Non moins susceptibles d'être confondu avec la possession sont les maladies de la personnalité, dans ces maladies, le patient assume deux ou plusieurs personnalités qui ont chacune leur façon de parler et leurs souvenirs. Pour un des plus beaux exemples visuels de cette maladie, voyez le film L'esprit de Cain, version française du film Raising Cain (1992). L'acteur John Lithgow interprète plusieurs personalités; Carter, Cain, Dr. Nix, Josh et Margo.
La plupart des médecins et des psychiatres considèrent que le diagnostique de la possession démoniaque relève de l'ignorance de la superstition médiévale, les symptômes invoqués, étant sujet à quantité d'interprétation physiologique ou psychiatrique. L'épilepsie, l'hystérie et les maladies de la personnalité sont susceptible de se manifester par des symptômes confondus avec ceux de la possession.
C'est à l'Église qu'il revient d'établir si ces manifestations paranormales se produisent dans le contexte d'une aversion caractérisée pour la religion et si oui, l'Église classifie ce cas d'authentique. Par la suite un prêtre conseille un exorcisme aux proches de la victime.
Ainsi que l'exige la procédure de l'Église Catholique, ce cas est soumis par la suite à une autorité hautement compétente en matière d'exorcisme et de possession. Ce cas est évalué selon la notice du Rituel Romain et est ensuite recommandé à l'Évêque du diocèse, qui a lui seul le pouvoir d'autoriser la célébration des rites de l'exorciste.
Deux révérends exorciste sont sélectionnés et depuis 1978, il est obligatoire qu'un médecin soit présent lors de l'exorciste et puis le tour est joué. La morale de cela, est que l'Église cache et contrôle un fait inexplicable qui n'est pas prouvé par la science, si vous ne croyez pas en la possession vous ne croyez pas en la religion Catholique. Source: Le grand livre du mystérieux, Reader's Digest Sélection.
Lors d'une catéchèse à Radio Maria italienne, le Père Amorth a parlé des exorcismes des maisons. Voici la traduction de son discours.
J’en parle avec une certaine appréhension car il y a tellement d’inquiétudes et de peurs injustifiées à cet égard que je ne voudrais pas les alimenter davantage.
A tous les exorcistes, surtout aux plus anciens, il est arrivé de bénir des maisons ou parfois de les exorciser, même s’il s’agit de cas rares. Ceci n’a rien à voir avec ce qu’on voit dans certains films ou que l’on trouve dans certains romans où l’on parle de châteaux hantés par des fantômes qui sont une œuvre de l’imagination.
Mais il arrive des cas plus complexes, c’est-à-dire que parfois on entend réellement des bruits étranges, des craquements, des présences, l’impression d’une présence ou d’être regardé par quelqu’un, des objets qui bougent, des tableaux qui tombent, des portes et fenêtres qui s’ouvrent ou se ferment sans que personne ne les ait touchées. Cela arrive de même avec des lumières, la télévision, le téléphone qui sonnent sans que personne n’ait appelé…
Il m’est arrivé de bénir des maisons où l’on entendait des bruits, des coups mais mes bénédictions n’ont apporté aucune amélioration, tandis que, quand j’ai béni une à une les personnes qui y vivaient, petit à petit aussi les dérangements dans la maison se sont réduits jusqu’à disparaître complètement.
Donc, il faut bien faire la distinction : parfois un trouble est réellement lié à un certain lieu et dérange les personnes. Parfois, c’est le contraire: le trouble est dans les personnes et se transmet aussi aux lieux.
Dans ce cas, il faut bénir les personnes; dans le premier cas, il faut bénir les lieux avec foi: il faut de l’eau bénite, il faut répéter la bénédiction.
Peu d’eau et beaucoup de foi
Chacun peut bénir les choses qui lui appartiennent. Donc après qu’un prêtre ait béni la maison, les parents peuvent asperger chaque soir avec de l’eau bénite la chambre où l’on dort et les autres pièces de la maison.
L’une des propriétés du sel exorcisé est de protéger les lieux des influences maléfiques. Mon grand maître, l’exorciste Padre Candido, m’a appris à mettre juste un petit peu de sel exorcisé dans les quatre coins de la pièce qu’on croit atteinte d’infestation maléfique, tout en récitant des prières. Parce que, rappelons-nous bien : il s’agit d’un sacramental et les sacramentaux sont efficaces selon la foi de celui qui les utilise.
Pourtant, je répète toujours : il faut peu d’eau et beaucoup de foi, peu de sel et beaucoup de foi, peu d’huile et beaucoup de foi. La foi pourrait suffire, sans le recours à autre chose, mais l’eau bénite surtout peut aider, car elle se réfère directement à l’eau du baptême et peut donc aider particulièrement dans les troubles et dans les maux physiques.
Source :http://www.patriziacattaneo.com
« Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est à dire les facultés propres à son âme. Être schizophrène, c’est être prisonnier d’un réseau de communications avec le monde invisible, qui n’est pas structuré ni organisé de façon cohérente. En conséquence, celui qui est pourvu de ce type de réseau s’en trouve très malheureux parce qu’il ne sait pas comment agir pour faire taire certains correspondants, ou pour en appeler d’autres. Rester dans cet état peut, en effet, conduire la personne atteinte de ce dérèglement médiumnique à vivre des situations très désagréables. Les esprits de toutes catégories se manifestent à elle parce qu’ils cherchent toujours un canal pour s’exprimer. Cela est surtout vrai pour les esprits des fréquences inférieures.
Le schizophrène a donc de fortes chances d’entendre plutôt ces esprits, parce qu’ils sont très proches de la terre et s’amusent comme ils le peuvent. Cependant, ils ne sont pas conscients, pour certains, du mal qu’ils font en agissant ainsi. Ils échappent tous à la hiérarchie spirituelle, et se livrent aux pires excès qui vont parfois jusqu’à manipuler un être faible en le conduisant jusqu’au suicide.
Les possibilités de guérison du schizophrène ne passent pas par l’absorption massive de ces médicaments chimiques, écrasant l’esprit et transformant le soi-disant malade en une véritable légume, afin d’anéantir ses perceptions. Il faut, au contraire, lui expliquer ce qui se passe réellement, et l’aider à gérer tout le désordre auquel il est confronté. Il faut que la personne soit sensibilisée à ses réelles possibilités de guérison si elle arrive à contrôler ces voix qui l’obsèdent, et qui pour la plupart lui font peur. Il faut que toute personne atteinte par ce problème ne soit plus en situation de faiblesse. Bien au contraire, le schizophrène est un être spirituellement très évolué, qui peut et qui doit s’opposer avec une grande autorité à ces esprits invisibles qui le perturbent, en leur imposant le silence et le respect.
Pourquoi certains esprits évolués sont-ils désignés comme étant schizophrènes, et d’autres ne le sont pas ? C’est une grande interrogation, mais nous allons y répondre.
Les êtres qui sont sensibles aux voix et aux manifestations du bas astral ( lesquelles sont très souvent éprouvantes et traumatisantes pour la personne qui les reçoit ) sont des esprits prisonniers d’un douloureux passé spirituel, qui les a mis dans une situation de vulnérabilité excessive. Ils ont vécu la peur dans une vie antérieure. Ils ont été placés dans les pires situations qu’un être normalement constitué ne pouvait supporter. Presque toujours, ils ont subi des sévices physiques et moraux et sont devenus des esclaves de l’esprit humain. C’est à dire qu’ils ont subi la domination outrageante d’êtres ignobles et sans scrupule. Ces esprits ont été affaiblis par ces expériences de vie, mais ils ont également développé de grandes facultés de résistance et de communication avec le seul être susceptible de les comprendre et de les aider : Je parle de leur guide spirituel ou de leur ange gardien.
Ces expériences douloureuses les ont suivis, et les suivront jusqu’au terme de leurs multiples vies. Cependant, il faut comprendre qu’un schizophrène est souvent à la fin de sa vie spirituelle, c’est à dire de ses multiples vies, lorsque de telles souffrances se manifestent. Il est toujours fragile et se met sans en être conscient, sous la tutelle de l’autorité la plus négative du monde invisible. Je parle de Satan : cette force noire qui ne souhaite que le mal, et qui s’empresse de se manifester auprès de tous ceux qui sont en situation d’extrême fragilité psychique.
Il est plus facile d’en sortir lorsque la personne atteinte n’est pas schizophrène. Et pour cause, elle n’en perçoit que la pensée et reste donc moins facile à atteindre. Celui qui perçoit la voix de façon très claire est beaucoup plus vulnérable, parce qu’il croit se retrouver dans la situation de soumission précédemment décrite, dont le souvenir est inscrit dans la mémoire de son âme.
Le processus de guérison est donc simple et complexe à la fois. Il passera toujours par l’écoute et par la compréhension du possédé, parce qu’il s’agit en l’occurrence d’une véritable possession. Elle n’est surtout pas à prendre à la légère. Bien sûr, les cas sont divers et ne présentent pas tous les mêmes symptômes, mais le fond du problème ou la cause est identique. C’est la raison pour laquelle le traitement passe obligatoirement par une compréhension objective, traduite dans les moindres détails à la personne qui souffre. C’est la seule possibilité qui s’offre à elle de se sentir soutenue et renforcée dans son propre combat intérieur qui consiste à éliminer les voix perturbatrices, et à se débarrasser définitivement des intrus qui s’emparent de façon intempestive, de son esprit. L’être soumis à de telles agressions ne peut résister très longtemps, surtout si le traitement qui lui est proposé est exclusivement chimique. Le traitement psychiatrique doit passer par la compréhension spirituelle des manifestations. Elles ne proviennent pas du cerveau comme le pensent les médecins, mais se produisent au contraire par le processus d’écoute télépathique ou clairaudient du corps éthérique. Il faut donc que le traitement soit approprié à celui qui est la cause du désordre, et non à celui qui ne l’est pas.
Sachez, savants psychiatres, que si la folie se manifeste chez une personne schizophrène, la cause est essentiellement liée à l’absorption de vos médicaments chimiques qui ne font que détruire. Rien de ce malaise observé ne peut être guéri de la sorte. En agissant ainsi, vous réduisez l’être à l’état d’esclave. C’est à dire que vous relayez avec une méthode de soins uniquement chimique, les méfaits de l’action occulte et invisible précédemment décrite. Le cercle est très vicieux. Oh ! Bien sûr, vous n’êtes pas responsables puisque vous ignorez pour la plupart l’existence de cette influence, malgré tout ce que vous entendez de la bouche même de vos patients. Mais il faut que vous sachiez à partir de maintenant inverser la tendance : alterner soins physiologiques et spirituels, et progresser lentement mais sûrement vers une nouvelle thérapie.
Notre souhait le plus cher est celui-là, et ainsi, l’évolution que vous observerez ou plutôt que vous reconnaîtrez chez vos « malades » ne pourra qu’être bénéfique à la vôtre. Je parle non seulement de l’action thérapeutique, mais également et surtout de votre progression spirituelle commune. Prenez le risque, à partir d’aujourd’hui, de vous lancer dans cette merveilleuse aventure qui vous est proposée, et ne soyez pas inquiets si vous en prenez le chemin parce que votre réussite en sera le couronnement. Soyez certains que votre nouvel engagement sera honoré par tous vos patients. Ne restez pas plus longtemps les bras croisés ou dans l’expectative : ils vous attendent !
Pour terminer, je dirai ceci : les schizophrènes sont des êtres merveilleux d’amour et lumineux dans toute leur splendeur. Ils doivent lutter eux-mêmes contre les esprits sombres qui les réduisent à l’état d’esclaves, et savoir qu’en agissant avec la foi d’être vainqueurs, ils s’en débarrasseront définitivement sans aucun secours thérapeutique médicamenteux. »
Je sais que mon fils est vivant
Directeur artistique, Christophe a perdu l’un de ses deux fils, mort à 16 ans dans un accident. Les signes étranges survenus alors ont bouleversé son esprit rationnel, mais ses proches ne l’ont pas compris.
« Trois jours après la mort d’Antoine, j’ai aperçu une petite boule lumineuse qui brillait au-dessus de mon lit. Je suis plutôt rationnel et, à l’époque, je cultivais ce que l’on pourrait appeler un “matérialisme indifférent” : Dieu, l’au-delà, la communication avec les morts et les phénomènes de ce genre me semblaient inconcevables. Mon fils était mort, point final. Ce matin-là, j’ai quand même vérifié les rideaux, la fenêtre… J’étais trop effondré pour m’étonner, m’inquiéter ou même réfléchir. Je me suis rendormi.
Le premier choc dans mes convictions est survenu trois mois plus tard. Toujours aussi malheureux, ma femme et moi étions dans la chambre d’Antoine quand j’ai reçu deux coups derrière la tête. J’ai regardé derrière moi en disant : “On m’a frappé !” “C’est peut-être Antoine”, a lancé Marianne. “Peut-être”, ai-je répondu, et on en est resté là. Croyante, quoique non pratiquante, Marianne lisait des livres sur l’après-vie, et je commençais probablement, inconsciemment, à accepter cette idée : elle adoucissait ma peine et avait le mérite d’apporter une explication – d’autant plus envisageable que ce geste “collait” avec la personnalité très “directe” d’Antoine.
Peu de temps après, Marianne m’a entraîné chez un médium. J’ai accepté d’y aller, par curiosité : peut-être cela me ferait-il du bien – j’allais tellement mal ! Mais j’étais très sceptique, pour ne pas dire critique. À tel point que je n’ai pas fait le rapprochement avec ce qui m’était arrivé quand, dès le début de la séance, le médium s’est penché en avant en disant qu’il venait de recevoir deux claques derrière la tête et qu’Antoine lui signifiait par là qu’il avait été tué sur le coup. Pour nous, ce fut d’abord un immense soulagement, car nous n’avions pas été autorisés à voir son corps et imaginions les pires scénarios. Ensuite, sans nous connaître, avec seulement la photo d’Antoine, le médium nous a dépeint sa personnalité, ses comportements, ses relations avec nous. “Talent de morphopsychologue ?” me suis-je demandé. Possible, mais comment expliquer qu’il décrive ensuite avec précision notre maison, ou l’absence de relation entre Antoine et ses grands-parents, ou encore un cadeau acheté pour sa petite amie qu’il nous enjoignait, selon le médium, de remettre à la jeune fille ?
J’étais à la fois impressionné, étonné, rassuré, soulagé. Consolé ? Non, on ne se remet jamais de la perte d’un enfant. Mais ma conception de la mort commençait à être sérieusement chamboulée, d’autant que les manifestations ont continué : bruits de pas, de portes qui claquent, objets qui disparaissent ou apparaissent, petits signes dont on peut toujours se dire qu’ils sont le fruit du hasard, mais qui finissaient par s’accumuler ! Cette “présence” me faisait du bien, mais cela n’empêchait pas les rechutes dans la souffrance, le retour des doutes, qui persisteront certainement toujours. J’ai alors essayé d’enquêter, de comprendre. Ces messages incompréhensibles sur mon téléphone portable, par exemple, pouvais-je en remonter la piste ? Peine perdue : selon mon fournisseur, ils n’avaient “aucune provenance”. Cette absence d’explication technique me donnait le droit d’adhérer à l’idée d’un clin d’oeil de mon fils, et cette idée me faisait plaisir, j’en étais parfaitement conscient.
Je regrette cependant que certains amis auxquels nous nous sommes alors confiés en soient restés à des remarques un peu condescendantes, du genre : “Si ça vous fait du bien, on est contents pour vous.” Refusant de considérer les possibilités que l’expérience ouvrait, ils ont d’abord tenté d’en réfuter la réalité. Puis, apprenant que nous allions voir des médiums et participions à des conférences, ils ont cherché à nous en dissuader, au nom du risque sectaire. Je sentais aussi que mon psychiatre ne souhaitait pas s’étendre sur ce terrain. Pourtant, et je le dois en grande partie aux personnes rencontrées à l’Inrees, même si je souffre, je sais que je ne suis pas fou. Je gère le quotidien aussi rationnellement qu’avant. Ma vie a changé, bien sûr : les petits soucis me paraissent aujourd’hui sans importance, et la réussite sociale sans intérêt. Je prêche pour davantage de tolérance, moins d’égoïsme et, sans pouvoir dire que je crois en un Dieu, je me suis ouvert à une spiritualité qui m’est propre. Je sais, pour l’avoir ressenti, que mon fils est “vivant”. Il m’arrive de penser que tous ces événements n’avaient pas d’autre but : me faire évoluer. »
www.paranormal-investigations.be
Des robinets qui s'ouvrent tout seul ; des sèche-mains qui s'allument tout à coup et des portes qui claquent. Serait-ce le fantôme de Lady Hamilton ?

Elle errerait dans les couloirs du théâtre à la recherche de son grand amour. Cette femme, qui a été la maîtresse de l'amiral Nelson, officier britannique qui a combattu Napoléon, est morte seule et alcoolique à Calais en 1815. Elle a été enterrée sous l'actuel théâtre, dans l'ancien cimetière. Certaines tombes ont été détruites, d'autres déplacées au cimetière situé près du lycée Coubertin.
Surnommé la Dame blanche, son fantôme hanterait toujours le théâtre de Calais. Une ancienne femme de ménage, Colette Bourret, l'aurait aperçue il y a 20 ans. Depuis, même si personne ne l'a vue, le personnel assiste régulièrement à des phénomènes paranormaux : « Un été, il n'y avait personne au théâtre. Quand on est revenu, on a vu des cendres dans un couloir », dit une femme de ménage. Aujourd'hui, le personnel du théâtre avoue en avoir pris l'habitude : « L'été, on entend le vent, poursuit-elle, Parfois, la lumière s'allume tout à coup. » Mais qui était lady Hamilton ? Sa vie est un roman. Elle est née en 1777 d'un père forgeron et d'une mère couturière. Elle a été successivement domestique d'un médecin, serveuse de bar et vendeuse dans un magasin avant d'être la maîtresse de lords et d'officiers de l'armée royale.
C'est en effet grâce à sa beauté qu'elle échappe à sa condition. Elle devient d'abord la maîtresse de Sir Charles, qui fera d'elle une "lady" en lui finançant des cours de chant et de danse. Mais sa passion pour cette femme devient trop coûteuse. Il la jette alors dans les bras de son oncle, sir William Hamilton, ambassadeur du roi Georges III à Naples. Lors d'un séjour à Naples, elle rencontre l'amiral Nelson avec qui elle va vivre une véritable passion.
Elle devient sa maîtresse. Une fille ; Horatia, est née de cette union. Peu de temps après, Sir William meurt, ne lui laissant aucun héritage. Deux ans plus tard, c'est au tour de l'amiral Nelson de quitter ce monde. Ses héritiers refusent de lui assurer son quotidien. Elle cumule les dettes et se fait jeter en prison. Pour fuir ses créanciers, elle se réfugie dans un hôtel à Calais avec sa fille. Vers la fin de sa vie, elle tombe dans le dénuement le plus total et termine ses jours dans une ferme aux environs de Calais.
Source :http://www.nordlittoral.fr
Un curé exorciste à Lavaltrie
Nombreux sont les sceptiques qui ne croient ni aux maisons hantées ni aux êtres possédés. Pourtant, l’Église prend ces choses très au sérieux. Un curé de Lavaltrie qui a pratiqué une douzaine d’exorcismes s’exprime sur le sujet, pour le moins, inusité.
L’expérience du curé Luc Beaudoin, de la paroisse Saint-Antoine-de-Lavaltrie, lui prouve que trop souvent les gens ouvrent une porte sur le monde des esprits sans avoir conscience du danger qui les guette.
« Des maisons où je suis allé sont parfois des endroits où ont été célébrées des séances de spiritisme ou des messes noires. Il faut prendre ces choses très au sérieux. On ne joue pas avec ce genre de pratiques. Le Ouija, on ne doit pas prendre cela à la légère », indique celui qui, depuis qu’il a été ordonné prêtre en 2006, a exorcisé une douzaine de propriétés.
«Lorsque des gens sont victimes de phénomènes paranormaux, au début, ils sont surpris, mais en font peu de cas, ils ont plus ou moins peur. Mais quand cela persiste, il faut intervenir. Le mal a envahi la maison et seule la foi peut en venir à bout», énonce le curé.
Bénir la maison, réciter des prières comme le Notre Père, Je vous salut Marie et Je crois en Dieu et des psaumes choisis minutieusement font partie de la solution. En moins d’une heure, l’homme d’Église parvient généralement à pratiquer ce genre d’exorcisme.
«Je n’ai jamais eu à revenir dans une maison. Mais, si [une visite] n’était pas suffisante, il faut y tenir une messe pour en chasser définitivement les esprits malins», explique-t-il.
Selon le curé, les esprits hantent souvent des endroits où se sont produits des actes de violence provoquant la mort, comme des meurtres ou des suicides. L’esprit du mort reste parfois enfermé dans la demeure et manifeste sa présence par «des bruits de pas à l’étage, des coups donnés sur les murs, bref, des bruits dérangeants venant d’esprits malins».
Luc Beaudoin raconte qu’il a déjà procédé à un exorcisme dans une demeure bâtie sur un ancien cimetière indien.
«Il y avait dans cette maison, des événements très dérangeants. Ce que les gens me racontent, c’est qu’ils ressentent une présence, une pression sur eux comme si quelqu'un les touchait», raconte-t-il.
Si le mal peut envahir les demeures, les êtres vivants ne sont pas à l’abri des esprits malveillants. Le curé Beaudoin a le pouvoir de procéder à des exorcismes sur du matériel, mais il ne peut procéder à des exorcismes sur des personnes, puisqu’il n’a pas l’assentiment de l’évêque.
Néanmoins, Luc Beaudoin a déjà été mis en présence d’un cas de personne possédée. L’Église a recensé de nombreux cas de possession de demeures et de personnes au fil du temps. Plusieurs prêtres, ayant obtenu l’autorisation de l’Église, pratiquent des exorcismes sur des gens possédés, ici comme ailleurs dans le monde.
«J’ai rencontré des gens avec une double personnalité. L’une des façons de savoir si une personne est possédée, c’est de lui faire avaler de l’eau bénite. Si elle la crache, c’est un signe très net et j’en ai été témoin», relate-t-il.
On badine avec le fait de se réunir autour d’une table et faire venir des esprits, en jouant à Ouija par exemple, mais les conséquences peuvent être très graves. L’abbé Beaudoin est convaincu que ceux qui croient que les fantômes peuvent être plutôt gentils ont tort. Les gentils esprits ne hantent généralement pas les maisons.
Source :http://lejournaldequebec.canoe.ca

Cette photographie étrange m’a été transmise par un témoin, que je nommerai du nom fictif de Pierre. Il s’agit d’une photographie banale au départ ; un jeune garçon photographiant sa sœur dans la cuisine de la demeure familiale. C’était vers une heure de l’après-midi, au mois d’août 2005, par une belle journée ensoleillée. Mais voilà qu’au visionnement de la photographie le père de famille s’aperçoit qu’une image étrange se trouve sur l’écran du téléviseur placé derrière sa petite fille. Or rien dans la pièce ne ressemble de près ou de loin à cette curieuse image. Vous pouvez voir ici l’image que l’on retrouve sur le téléviseur. J’ai donc débuté une investigation afin de découvrir ce que pouvait être cet effet étrange. J’ai d’abord suspecté le téléviseur lui-même, ayant sous la main un vieux téléviseur usagé prêt à être jeté, je l’ai démonté mais rien dans la constitution d’un tel appareil ne ressemble à l’image étrange. J’ai par la suite tenté, avec l’aide d’un collègue, d’analyser la photographie et de la reproduire. Voici d’abord quelques précisions sur les lieux et l’appareil; le jeune garçon a utilisé un appareil numérique Hp Photosmart 320 2.1 pixels. Il a utilisé un flash lors de la prise de photographie. Le téléviseur lui-même est un appareil récent, il était éteint lors de la prise de photographie et rien n’y est relié, ni magnétoscope ni lecteur DVD ou autre. Pierre et ses enfants ont tenté de reproduire la même photographie à divers moments et diverses heures du jour sans arriver à quelque résultat que ce soit. J’ai eu en main diverses photographies de la pièce et des lieux extérieurs pouvant être impliqués dans l’image étrange mais absolument rien ne semble pouvoir y être relié.
Un premier spécialiste consulté a pu remarquer que la photographie avait été bien prise, la petite fille n’avait pas les yeux rouges, l’angle était bon, etc… Selon l’angle, l’objet photographié devait se trouver à la gauche de la petite fille ( qui est à droite sur la photographie). La lumière de ce qui ressemble à un point d’interrogation partirait du bas vers le haut, car la base est plus brillante. L’expert a pensé à une lumière que quelqu’un aurait bougé lors de la photo, mais la forme est trop parfaite pour avoir été accomplie par une main humaine. Une obturation lente de l’appareil photo n’est pas non plus une explication valable. Ce qui ressemble à une espèce de pantin au centre de la photographie aurait été en mouvement. Pour terminer, cet expert a précisé que pour truquer une telle photo il fallait être très habile et très bien équipé.
Selon mes propres observations et expériences, tout semble indiquer que l’image à l’intérieur de l’effet de lumière en point d’interrogation pourrait ne pas être le reflet d’un objet précis mais bien l’image projetée d’un objet. C’est à dire qu’elle semble venir de l’extérieur de la pièce. Il semble qu’une lumière tel un phare de voiture ou autre source, aurait pu , de façon étrange, projetée l’image d’un objet se trouvant à l’extérieur. Mais Pierre n’a pu identifier aucun objet pouvant ressembler à l’image au centre dans l’entourage de la maison, je ne sais donc pas si cette hypothèse, que j’ai émise, est valable.
Avec l’aide de photoshop et d’agrandissements de diverses parties de la photo un expert de l’unviersité Laval a pu modifier la densité et différents paramètres de l’image ce qui nous a permis d’identifier le reflet de quelques objets de la pièce sans cependant pouvoir identifier l’image au centre du téléviseur.
J’ai ensuite transmis toutes les photographies et coordonnées en ma possession concernant cette photographie à un autre expert en multimédia de l’Université Laval, qui a eut l’amabilité de prendre un certain temps pour l’étudier. Selon ses conclusions, nous aurions affaire à une étrange série de coïncidences, ce qui est fort possible. Cet expert a tenté d’isoler certains détails de l’image mais certaines de ses conclusions ne concordent pas avec ce que nous savons sur la prise de l’image, entre autre que le petit garçon aurait tenu dans sa main gauche l’appareil photo et dans sa main droite l’objet ressemblant à un point d’interrogation. Selon Pierre, cependant, il a tenu l’appareil photo comme tout le monde avec ses deux mains. D’ailleurs, j’ai fait quelques recherches et n’ai trouvé aucune lampe ou autre objet pouvant avoir la forme de ce fameux point d’interrogation. Il aurait pu s’agir cependant d’une tête de support de métal fixé sur un objet quelconque et sur lequel on aurait projeté de la lumière, mais divers essais pour vérifier cette hypothèse n’ont pas été concluants. L’expert émet également l’hypothèse qu’il ait pu y avoir un effet de « fond d’œil », car ce genre d’appareil photo a le flash situé très près de l’objectif et est assez concentré vu sa taille. Mais dans ce cas, ce curieux effet n’aurait-il pas dû se reproduire à plus d’une reprise ? Évidemment, nous ne pouvons éliminer l’hypothèse qu’un simple objet, banal, ait pu se trouver dans la pièce lors de la prise de la première photo et donner ce curieux effet sans que quiconque n’y attache d’importance à ce moment. Une série de coïncidence implique plusieurs facteurs que nous ne sommes pas toujours en mesure de reproduire puisque ces détails ne sont pas toujours connus( ou remarqués) du témoin lui-même.
Toujours selon l’expert en multimédia, l’anneau dans l’écran pourrait être un objet métallique ou en plexi, en forme de courbe, placé entre l’appareil photo et l’écran TV. Ce que nie le témoin. Il aurait pu s’agir également d’une superposition de deux images car il y a des zones ou les pixels ne sont pas aussi homogènes que les autres et cela pourrait indiquer une manipulation. Évidemment, nous ne pouvons jamais éliminer complètement la supposition d’une manipulation de la part du témoin, j’ai pourtant tendance à lui faire confiance, surtout face à la complexité de pouvoir reproduire cette fameuse photographie.
http://cthibaultl.com
www.paranormal-investigations.be
Témoignage posté par Arcangelo sur
Il y a six ans j'ai acheter une vieille maison, elle était quasiment à l'abandon.
Un jour, l'entrepeneur qui faisait les travaux dans la maison me telephona, au bureau,pour me dire qu'il partait de la maison et qu'il n'y retournerais plus jamais.
Au soir quand j'ai ete le trouver, il m'expliqua que la porte donnant du hall de nuit à ma chambre s'etait mise à claquer,à s'ouvrir et se fermer toute seule, tres fort, il n'y avait pas de courant d'air et elle n'avait aucune raison de le faire.
Quand il s'est approcher pour verifier ce qu'il se passait avec cette porte, il sentit comme un courant d'air glacial passer a travers lui, et il vit une silouhaite noire qui avait l'air de fotter, dans l'air, dans ma chambre
Il rammassa toutes ses affaires et il est partis avec ses ouvriers.
Jai fais appel a un autre entrepreneur qui avait fini les travaux, il n'avais eu aucun probleme.
Nous avions amménager, c'etait le deuxieme soir que nous dormions là, il etait 1h du matin quand la porte s'est remise a s'ouvrir et fermer toute seule en claquant tres fort, cela a durer au moin 10 secondes
Mon epouse est aller,immediatement, chercher notre fils dans sa chambre, prise de peur, elle voulu partir tout de suite chez ses parent.
ce qu'on a fait, bien sur.
Le lendemain, j'ai ete avec un gars pour essaier de trouver une explication, il etait 11h du matin.
nous etions devant cette porte quand nous avons entendu un cris tres aigu et soudainement l'air etait devenu glacial.
finalement, j'ai demander a un pretre de benir la maison, et quand il l'a fait, il m' a dit que nous pouvions retourner à la maison sans crainte.
Il ne s'est plus rien passer depuis, mais le coup de coeur que nous avions eu pour cette maison, n' y est plus.
Voila, pour moi il y avait des esprits dans ma maison.
Je ne me suis pas renseigné sur le passé de la maison, parceque je n'ai parler que tres rarement de cette situation, mais je le ferais.
cependant, un voisin m'a dit un jour qu'il habite dans la rue depuis 50ans, et que cette maison a eu un tas de propriétaire et qu'ils ne restaient jamais longtemp, mais sans donner de détails
la seule personne qui a vue quelque chose est le premier entrepreneur, a part lui, il n'y a jamais eu d'apparition, du moin a ce que je sais.
le pretre n'etait pas trop bavard quand je lui posais des questions, mais il m'a fait comprendre qu'il y avait une ame qui errait dans la maison et qu'il l'a libérée.
Je tiens à souligné qu'il ne me l'a pas dit clairement, il citais des cas similaire sans trop se mouillé !
Merci de m'avoir lu.
Je ressort mon témoignage car je vien de voir la vidéo /les images temoignent/ et je me suis rappeler qu'a l'epoque l'entrepreneur qui travaillais dans ma maison m'avait dis qu'il retrouvait des panneaux de cyproc qu'il avait installer à terre !! comme c'est le cas dans cette vidéo !! c'est tres impressionnant.

Ce témoignage a été publié surwww.paranormal-investigations.bepar Latole... ce témoignage est à prendre en considération, vu les danger de la pratique du spiritisme.
Le témoignage :
"bonjour à tous,
si je fais ce témoignage, c'est dans le seul but d'avertir toute personne(sans expérience) qui souhaiterait faire une scéance de spiritsme!je précise que, malgré les années,c'est la première fois que je parle de cette histoire.
lorsque j'avais 13 ans, j'ai fais la connaissance d'une fille agée de 16 ans qui habitait le meme village que moi. nous avons sympathisé, et elle m'a raconté son histoire. elle avait d'abord perdu son papa quelques années auparavant d'une maladie, puis son jeune frère,mort de la meme maladie! elle m'a raconté que la veille de la mort de son frère, elle s'était revéillée en pleine nuit et avait vu le fantome de son père qui se tenait debout au pied de son lit! elle m'a confié aussi que cela lui arrivait régulièrement de le voir en certaines circonstances!
puis, un jour, elle m'a proposé de faire une scéance despiritisme, afin d'essayer de rentrer en contact avec son père! et moi, bien sur, en quete de sensations fortes, j'ai accepté!
la scéance s'est déroulée en pleine après-midi chez elle(dans sa chambre) portes et volets fermés! nous devions etre 3, mais la troisième personne nous a laché en cours de route parce qu'elle avait trop peur!nous n'étions donc plus que toutes les deux, et avons démarré la scéance!
nous étions assises par terre autour d'une petite table, il y avait une bougie sur la table, et pour faire appel à l'esprit de son papa, elle se servit de son pendentif(offert par son père) qu'elle tenait à bout de bras au dessus de la table. elle invoquait l'esprit de son papa en l'appelant.
j'avoue qu'à ce moment là, je n'étais déjà plus rassurée du tout!
puis, tout à coup, son pendentif s'est mis à tourner violemment au dessus de la table et j'ai vu ses yeux se révulser et son corps se mettre à trembler comme dans une transe! tout devenait confus, et j'avais l'impression qu'une tempete avait lieu dans cette chambre, le bruit était assourdissant!
par peur, j'ai voulu lui attrapper le bras, et là, je ne sais pas comment, quelque chose comme un violent courant d'air,m'a projeté un mètre derrière contre le rebord de son lit! j'étais à demi consciente. quand j'ai repris mes esprits, le bruit avait cessé ,et elle, elle n'avait pas bougé! j'ai vu son pendentif ralentir, et c'est à ce moment là, que je l'ai vu sortir de sa "transe"! je l'ai prise par le bras, j'étais terrorisée, et nous sommes sorti de sa maison en courant! une fois dehors, je lui expliqué... cette force qui m'avait projeté contre le lit, le pendentif, ses yeus révulsés et ses tremblements, ce bruit assourdissant!
et bien, elle, elle ne se rappelait de rien! comme si elle n'avait pas assisté à la scène! elle ne se souvenait que du début de la scéance et du moment où je l'avais attrappé par le bras pour nous enfuir en courant!
après cette scéance, par peur, j'ai coupé court à notre relation! je dois avouer que quelque chose chez elle me faisait très peur et la scéance despiritisme me l'a confirmé!
après cet évènement, je me suis jurée de ne plus JAMAIS refaire de scéance despiritisme de toute ma vie!
avec le recul, je regrette d'avoir coupé court à notre relation, mais j'étais jeune et j'ai eu tellement peur, qu'à l'époque, pour moi, c'était la seul solution qui s'imposait!
s'en sont suivi pour moi, de nombreux "soucis" pendant plusieurs années, alors...conséquences de cette scéance qui a mal tournée ou problèmes liés à une adolescence difficile??? je ne saurai jamais...
mais je vous rassure, 20 ans après, tout va bien! enfin je crois... et pourvu que ça dure!
je concluerai donc, en avertissant toute personne debutante de ne jamais pratiquer de scéance despiritisme sans etre accompagnée de personnes sérieuses et compétentes dans ce domaine!
je vous souhaite une bonne journée
latole"